martes, 21 de mayo de 2024

WTC Building 6 Case

 

Lewis, Clyde. "WTC Building 6 Case: The Puzzling Evidence." Ground Zero: Talk for the 21st Century 6 Sept. 2011. Online at the Internet Archive.*

         https://web.archive.org/web/20110925130610/http://www.groundzeromedia.org/wtc-building-6-case-the-puzzling-evidence/

         2024



The demolition or destruction of Building 6 is not accounted for in the official article on the WTC (Wikipedia):


Wikipedia. "World Trade Center (1973-2001)." Wikipedia: The Free Encyclopedia.*

         https://en.wikipedia.org/wiki/World_Trade_Center_(1973%E2%80%932001)

         2024

 

WTC Building 6

 

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Camino del Suroeste

 

Camino del Suroeste

ANALYZE THIS

 

ANALICEN ESTO

NETANYAHU en BUSCA y CAPTURA por CRIMENES de LESA HUMANIDAD

Wayfaring Stranger (4)

La ‘Sanchezesfera’ hiperventila ante la estocada de Javier Milei a Begoña

Me anuncian en La Vanguardia

PEDRO SÁNCHEZ: EL ESTADO SOY YO

lunes, 20 de mayo de 2024

Denuncias a GoGó

 





Refoto

 

Refoto

Hola, no expreses esas opiniones

 Me escribe Google, atento a que nadie desinforme. Espero que le apliquen la misma a la Wikipedia:

Tu entrada "Atrocious Crimes by the Authorities" ha sido eliminada

Recibidos

     Hola:

     Como probablemente ya sabrás, nuestras Normas de la Comunidad 
(https://blogger.com/go/contentpolicy) describen los límites de los 
contenidos permitidos y no permitidos en Blogger. Nos han pedido que 
revisemos tu entrada "Atrocious Crimes by the Authorities". Hemos 
determinado que infringe nuestras normas y hemos eliminado la entrada, 
anteriormente disponible en 
http://vanityfea.blogspot.com/2024/05/atrocious-crimes-by-authorities.html.

     ¿Por qué hemos eliminado tu entrada de blog?

     Tu contenido vulnera nuestra política de contenido engañoso. Para 
obtener más información, visita la página de normas de la comunidad, cuyo 
enlace encontrarás en este correo.


     Si crees que hemos cometido un error, puedes solicitar una apelación: 
https://www.blogger.com/go/appeal-post?blogId=25601183&postId=2277754405554300521
Tienes la opción de presentar tus reclamaciones ante juzgados o tribunales. 
Si tienes alguna duda de carácter legal o quieres consultar las opciones 
legales a las que puedes recurrir, te recomendamos que busques 
asesoramiento jurídico.

     Te recomendamos revisar el contenido completo de tus entradas para 
asegurarte de que cumplen nuestros estándares y no existe ninguna otra 
infracción que pueda dar lugar a que se elimine tu blog.

     Para obtener más información, consulta los siguientes recursos:

     Términos del Servicio: https://www.blogger.com/go/terms
     Normas de la Comunidad de Blogger: https://blogger.com/go/contentpolicy

     Un saludo,

     El equipo de Blogger
 
 
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(Si quieres puedes meterte con el genocidio palestino y los horrendos crímenes de Israel, hasta ahí nos estiramos, y mucho más por esa vía si quieres explayarte, por ahí no problemo).
 
 
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Los Alemanes

Los Alemanes

Faire semblant de rompre

Marcel "fait semblant" de rompre avec Albertine dans La Prisonnière de Proust (375-78):

Mon découragement aurait duré. Les paroles d'Albertine, quand j'y songeais, y faisaient succcéder une colère folle. Elle tomba devant une sorte d'attendrissement. Moi aussi, depuis que j'étais rentré et déclarais vouloir rompre je mentais aussi. D'ailleurs, même en repensant par à coups, par élancements, comme on dit pour les autres douleurs physiques, à cette vie orgiaque qu'avait menée Albertine avant de me connaître, j'admirais davantage la docilité de ma captive et je cessais de lui en vouloir. 

Seulement cette simulation entraînait pour moi un peu de la tristesse qu'aurait eue l'intention véritable et que j'étais obligé de me représenter pour la feindre. Sans doute, jamais, durant notre vie commune, je n'avais cessé de laisser entendre à Albertine que cette vie ne serait vraisemblablement que provisoire, de façon qu'Albertine continuât à y trouver quelque charme. Mais ce soir j'avais été plus loin, ayant craint que de vagues menaces de séparation ne fussent plus suffisantes, contredites qu'elles seraient sans doute dans l'esprit d'Albertine par son idée d'un grand amour jaloux pour elle, qui m'aurait, semblait-elle dire, fait aller enquêter chez les Verdurin. Ce soir-là je pensai que, parmi les autres causes qui avaient pu me décider brusquement, sans même m'en rendre compte qu'au fur et à mesure, à jouer cette comédie de rupture, il y avait surtout que, quand dans une de ces impulsions comme en avait mon père, je menaçais un être dans sa sécurité, comme je n'avais pas comme lui le courage de réaliser une menace, pour ne pas laisser croire qu'elle n'avait été que paroles en l'air, j'allais assez loin dans les apparences de la réalisation et ne me repliais que quand l'adversaire, ayant vraiment l'illusion de ma sincérité, avait tremblé pour tout de bon.


 

 


D'ailleurs dans ces mensonges, nous sentons bien qu'il y a de la vérité; que si la vie n'apporte pas de changements à nos amours, c'est nous-mêmes qui voudrons en apporter ou en feindre, en parler de séparation, tant nous sentons que tous les amours et toutes choses évoluent rapidement vers l'adieu. On veut pleurer les larmes qu'il apportera bien avant qu'il survienne. Sans doute y avait-il cette fois, dans la scène que j'avais jouée, une raison d'utilité. J'avais soudain tenu à la garder prce que je la sentais éparse en d'autres êtres auxquels je ne pouvais l'empêcher de se joindre. Mais eût-elle à jamais renoncé à tous pour moi, que j'aurais peut-être résolu plus fermement encore de ne la quitter jamais, car la séparation est par la jalousie rendue cruelle, mais par la reconnaissance, impossible. Je sentais en tout cas que je livrais la grande bataille où je devais vaincre ou succomber. J'aurais offert à Albertine en une heure tout ce que je possédais, parce que je me disais: tout dépend de cette bataille. Mais ces batailles ressemblent moins à celles d'autrefois, qui duraient quelques heures, qu'à une bataille contemporaine qui n'est finie ni le lendemain, ni le surlendemain, ni la semaine suivante. On donne toutes ses forces, parce qu'on croit toujours que ce sont les dernières dont on aura besoin. Et plus d'une année se passe sans amener la "décision".

Peut-être une inconsciente réminiscence de scènes menteuses faites par M. de Charlus, auprès duquel j'étais quand la crainte d'être quitté par Albertine s'était emparée de moi, s'y ajoutait-elle. Mais plus tard, j'ai entendu raconter par ma mère ceci, que j'ignorais alors et qui me donne à croire que j'avais trouvé tous les éléments de cette scène en moi-même, dans une de ces réserves obscures de l'hérédité que certaines émotions, agissant en cela comme, sur l'épargne de nos forces emmagasinées, les médicaments analogues à l'alcool et au café, nous tendent disponibles: quand ma tante Octave apprenait par Eulalie que Franoise, sûre que sa maîtresse ne sortirait jamais plus, avait manigancé en secret quelque sortie que ma tante devait ignorer, celle-ci, la veille, faisait semblant de décider qu'elle essayerait le lendemain d'une promenade. A Françoise d'abord incrédule elle faisait non seulement préparer d'avance ses affaires, faire prendre l'air à celles qui étaient depus longtemps enfermées, mais même commander la voiture, régler à un quart d'heure près tous les détails de la journée. Ce n'était que quand Françoise, convaincue ou du moins ébranlée, avait été forcée d'avouer à ma tante les projets qu'elle-même avait formés, que celle-ci renonçait publiquement aux siens pour ne pas, disait-elle, entraver ceux de Françoise. De même, pour qu'Albertine ne pût pas croire que j'exagérais et pour la faire aller le plus loin possible dans l'idée que nous nous quittions, tirant moi-même les déductions de ce que je venais d'avancer, je m'étais mis à anticiper le temps qui allait commencer le lendemain et qui durerait toujours, le temps où nous serions séparés, adressant à Albertine les mêmes recommandations que si nous n'allions pas nous réconcilier tout à l'heure. Comme les généraux qui jugent que pour qu'une feinte réussisse à tromper l'ennemi, il faut la pousser à fond, j'avais engagé dans celle-ci presque autant de mes forces de sensibilité que si elle avait été véritable. Cette scène de séparation fictive finissait par me faire presque autant de chagrin que si elle avait été réelle, peut-être parce qu'un des deux acteurs, Albertine, en la croyant telle, ajoutait pour l'autre à l'illusion. On vivait un au jour le jour, qui, même pénible, restait supportable, retenu dans le terre à terre par le lest de l'habitude et par cette certitude que le lendemain, dût-il être cruel, contiendrait la présence de l'être auquel on tient. Et puis voici que follement je détruisais toute cette pesante vie. Je ne la détruisais, il est vrai, que d'une façon fictive, mais cela suffisait pour me désoler; peut-être parce que les paroles tristes que l'on prononce, même mensongèrement, portent en elles leur tristesse et nous l'injectent profondément; peut-être parce qu'on sait qu'en simulant des adieux on évoque par anticipation une heure qui viendra fatalement plus tard, puisss l'on n'est pas bien assuré qu'on ne vient pas de déclencher le mécanisme que la fera sonner. Dans tout bluff il y a, si petite qu'elle soit, une part d'incertitude sur ce que va faire celui qu'on trompe. Si cette comédie de séparation allait aboutir à une séparation! On ne peut en envisager la possibilité, même invraisemblable, sans un serrement de cœur. On est doublement anxieux, car la séparation se produirait alors au moment où elle serait insupportable, où on vient d'avoir de la souffrance par la femme qui vous quitterait avant de vous avoir guéri, au moins apaisé. Enfin, nous n'avons même plus le point d'appui de l'habitude, sur laquelle nous nous reposons, même dans le chagrin. Nous venons volontairement de nous en priver, nous avons donné à la journée présente une importance exceptionnelle, nous l'avons détachée des journées contigües; elle flotte sans racines comme un jour de départ; notre imagination, cessant d'être paralysée par l'habitude, s'est éveillée; nous avons soudain adjoint à notre amour quotidien des rêveries sentimentales qui le grandissent énormement, nos rendent indispensable une présence sur laquelle, justement, nous ne sommes plus absolument certains de pouvoir compter. Sans doute, c'est justment afin d'assurer pour l'avenir cette présence, que nous nous sommes livrés au jeu de pouvoir nous en passer. Mais ce jeu, nous y avons été pris nous même, nous avons recommencé à souffrir parce que nous avons fait quelque chose de nouveau, d'inaccoutumé, et qui se trouve ressembler ainsi à ces cures qui doivent guérir plus tard le mal dont on souffre, mais dont les premiers effets sont de l'aggraver.

J'avais les larmes aux yeux, comme ceux qui, seuls dans leur chambre, imaginant selon les détours capricieux de leur rêverie la mort d'un être qu'ils aiment, se représentent si minutieusement la douleur qu'ils auraient, qu'ils finissent par l'éprouver. Ainsi, en multipliant les recommandations à Albertine sur la conduite qu'elle aurait à tenir à mon égard quand nous allions être séparés, il me semblait que j'avais presque autant de chagrin que si nous n'avions pas dû nous réconciler tout à l'heure. Et puis étais-je si sûr de le pouvoir, de faire revenir Albertine à l'idée de la vie commune, et, si j'y réussissais pour ce soir, que, chez elle, l'état d'esprit que cette scène avait dissipé ne renaîtrait pas? Je me sentais, mais ne me croyais pas, mître de l'avenir, parce que je comprenais que cette sensation venait seulement de ce qu'il n'existait pas encore et qu'ainsi je n'étais pas accablé de sa necessité. Enfin, tout en mentant, je mettais peut-être dans mes paroles plus de vérité que je ne croyais. Je venais d'en avoir un exemple, quand j'avais dit à Albertine que je l'oublieraies vite; c'était ce qui m'était en effet arrivé avec Gilberte, que je m'abstenais maintenant d'aller voir pour éviter, non pas une souffrance, mais une corvée. Et certes, j'avais souffert en écrivant à Gilberte que je ne la verrais plus. Or, je n'allais que de temps en temps chez Gilberte. Toutes les heures d'Albertine m'appartenaient. Et en amour, il est plus facile de renoncer à un sentiment que de perdre une habitude. Mais tant de paroles douloureuses concernant notre séparation, si la force de les prononcer m'était donnée parce que je les savais mensongères, en revanche elles étaient sincères dans la bouche d'Albertine quand je l'entendis s'écrier: "Ah! c'est promis, je ne vous reverrai jamais. Tout plutôt que de vous voir pleurer comme cela, mon chéri. Je ne veux pas vous faire de chagrin, Puisqu'il le faut, on ne se verra plus." Elles étaient sincères, ce qu'elles n'eussent pu être de ma part, parce que, comme Albertine n'avait pour moi que de l'amitié, d'une part le renoncement qu'elles promettaient lui coûtait moins; d'autre part, que mes larmes, qui eussent été si peu de chose dans un grand amour, lui paraissaient presque extraordinaires et la bouleversaient, transposées dans le domaine de cette amitié où elle restait, de cette amitié plus grande que la mienne, à ce qu'elle venait de dire, —à ce qu'elle venait de dire parce que dans une séparation, c'est celui qui n'aime pas d'amour qui dit les choses tendres, l'amour ne s'exprimant pas directement, —à ce qu'elle venait de dire, et qui n'était peut-être pas out à fait inexact, car les mille bontés de l'amour peuvent finir par éveiller chez l'être qui l'inspire et ne l'éprouve pas, une affection, une reconnaissance, moins égoïstes que le sentiment qui les a provoquées, et qui, peut-être, après des années de séparation, quand il ne resterait rien de lui chez l'ancient amant, subsisteraient toujours chez l'aimée.

 

 

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🔴 DIRECTO | Rueda de prensa de Santiago Abascal

La Fenomenología del Espíritu, en Retrospection

 

Refoto

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TODO ES GEOPOLITICA: Tensión en Irán por el accidente del helicóptero del presidente iraní

 








LOS PROGRES TIENEN MIEDO. "ESTÁN TODOS. NI EN NUESTRAS PEORES PESADILLAS"

domingo, 19 de mayo de 2024

Denuncia penal por fraude electoral el 23J

 


 DENUNCIA PENAL POR FRAUDE ELECTORAL EL 23J La Asociación Plataforma Elecciones Transparentes (APET) y el partido político Progresistas contra la corrupción (PCLC), han denunciado el fraude electoral en las Elecciones Generales de 2023 (23J), ante el Fiscal General del Estado. Se denuncia a CARMEN LÓPEZ GARCÍA, Directora General de Política Interior, por preparar y posibilitar el fraude electoral de 2023, mediante el Pliego de prescripciones técnicas, cometido por los Delegados y Subdelegados del Gobierno, en las distintas Comunidades Autónomas y Provincias, así como a la empresa Indra por crear una plataforma técnica diseñada para el fraude electoral. 
La denuncia se basa en los siguientes puntos: 
 
• Las irregularidades en el concurso de adjudicación de la plataforma informática. 
 
• La opacidad del Pliego de condiciones (prescripciones) técnicas de dicha plataforma, preparada para el fraude electoral. 
 
• La ilegalidad del Pliego de condiciones (prescripciones) técnicas de dicha plataforma, preparada para el fraude electoral, facilitando la actualización constante de los resultados y la posibilidad de modificarlos a los Delegados y Subdelegados del Gobierno. 
 
• La omisión del control de la Administración Electoral de los resultados, advertida por la propia Junta Electoral Central. El Gobierno ha aprovechado que esta omisión se realiza desde el año 2000, aprovechando que se empieza a utilizar una plataforma informática con telemática. 
 
• La inverosimilitud de los resultados de 2023, en comparación de los resultados de las Elecciones Autonómicas y Municipales del 28 de mayo del mismo año (28M), es decir, sólo dos meses antes. 
 
• La inverosimilitud de los resultados, en comparación con las encuestas electorales. 
 
• La coincidencia de los resultados con los pronósticos del CIS, cuando éste había sido el que más había errado en otros pronósticos electorales, evidencia que el resultado ya estaba decidido por el Gobierno antes de la votación. 
 
Se ha denunciado también a la empresa Indra como colaboradora necesaria para el fraude electoral. Con esta denuncia se pretende que se investigue el fraude para conocer los funcionarios implicados y que sean condenados, así como presionar para que los 250 miembros de las Juntas Electorales Provinciales, cumplan con sus funciones que son excelentemente remuneradas. 
 
Dada la gravedad de los hechos denunciados, sólo el Fiscal General del Estado tiene competencia para tramitar esta denuncia, previa consulta a la Junta de Fiscales de Sala, según el Estatuto Orgánico del Ministerio Fiscal. 
 
Se ha remitido copia de la denuncia a varias asociaciones policiales, de fiscales y de jueces, así como al Consejo General del Poder Judicial. PCLC está estudiando la posibilidad de denunciar a los 150 magistrados de las 50 Audiencias Provinciales y a los 100 profesores universitarios y catedráticos que han compuesto las Juntas Electorales Provinciales, por no realizar el escrutinio general conforme a la Ley electoral, permitiendo el fraude electoral.
 
 
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About Me, on The Road

 

About Me


About.me (José Angel García Landa).*

         http://about.me/JoseAngelGarciaLanda

         2011 DISCONTINUED 2020 – Online at the Internet Archive

https://web.archive.org/web/20120503021031/http://about.me/JoseAngelGarciaLanda

         2024

 

 

"No volvió a ser el mismo."

 Bueno, y a la vez puede que vuelva a ser él mismo, qui saura saura.

 

 

 

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The Road, & Company: https://personal.unizar.es/garciala/publicaciones/Road&co.pdf 

 

 





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Una Emoción Sincera

 

Una Emoción Sincera

Colectivo de Calvos, Cojos, Flacos y Pelirrojos

Colectivo de Calvos, Cojos, Flacos y Pelirrojos (CCPF+)

Refoto

 

Refoto

Donde espero y desespero

Donde espero y desespero

Expertos (en silencio)

 

Expertos (en silencio)

TAMPOCO PUIGDEMONT SE LIBRA DE LAS GARRAS DE UN ZAPATERO QUE PARECE PEDIR UN RECESO PARA PUJOL

   


Royuela Fernández, Alberto, and Juan Martínez Grasa. "Tampoco Puigdemont se libra de las garras de un Zapatero que parece pedir un receso para Pujol." Video. YouTube (EXPEDIENTE ROYUELA) 17 May 2024.* (José Luis Rodríguez Zapatero, Margarita Robles, Carles Puigdemont, Oriol Junqueras, Marcela Topor, Joaquín Puigdemont, Enrique Puigdemont, Gerona, Elianne Ros, Neus Bramona. Organized crime in Catalonia, corruption of Spanish justice, Prosecution of Pujol family: Florenci Pujol Brugat, Jordi Pujol Soley, Marta Ferrusola Lladós, Jordi Pujol Ferrusola, Josep Pujol Ferrusola, Pere Pujol Ferrusola, Oleguer Pujol Ferrusola, Oriol Pujol Ferrusola, Marta Pujol Ferrusola, Mireia Pujol Ferrusola; foundations KOPELAND, CLIPPERLAND, PATY, DORAL, DONERAN; Andbank; Vertedero de Vacamorta (Crüilles), Gustavo Buesa Ibáñez, Josep Mayola Comadira; Vertedero de Tivissa, Gestió y Recuperació de Terrenys, Servitransfer S.L., Active Translation, Gestió i Valorització de Terrenys S. L., Igor Mozgovoy Mozgova, Lluís Badía Chancho, Puerto de Tarragona, Predinet, Instituto Catalán de Crédito, Promopalamós, Copisa Constructora Pirenaica, Copisa Proyectos y Mantenimientos Industriales, Entorn, Isolux Corsan, Delso Heras, Gomis Cañete, Radio France, Braintridge Holdings, Rainford Tyowning, EMTE S.A., Project Marketing Cat, Riva Palacio Magaña, Trade Management Consulting, Cientific Management, Técnicas Reunidas S.A., IMISA, Construcciones Materiales y Pavimentos, Simer Office S.L. (Copisa), Cevalls S.A., Ceacsa, Novensauro Inmobles (Copisa), IMISA, FOCIO, Ramón Gironés, Mercé Gironés Riera, Mercé Riera Anglada, Xavier Corominas Riera, Antonio Lodeiro Guardiola, New Piave Seis (Copisa), Cornado Mateu (president of COPISA), Promociones Club Campo de Golf de Ronda, Hotel Glories, Famguega, Isolux de México, Isolux Corsan, Carlos Villarubí Carrió, CVC Grupo Consejeros S.L., Inmoyestel, Antonio Zorzano Riera, Proelec S.L. (Sumarroca Family), MT Tahat S.L. General Lab S.A., Carmen Zorita Castanyer, Labcodiagnostics Espanya,  AEAT, Claremont Commercial Corp, GBI Serveis SAU, Terminal Puerto del Rosario S.A., Inter Rosario Port Service; Secret murders of Expediente Royuela).

https://youtu.be/FQAy0bGMAGQ

         2024

 

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sábado, 18 de mayo de 2024

Sube el río

 

Sube el río

TEORÍA DE LOS VIDEOJUEGOS

Me citan (no sobre videojuegos) en este libro de teoría de los videojuegos, visible en el último enlace:

Perron, Bernard, and Mark J. P. Wolf, eds. The Video Game Theory Reader 2. New York and London: Taylor and Francis-Routledge, 2008.

         https://www.taylorfrancis.com/books/e/9780203887660/chapters/10.4324/9780203887660-12

         2020

Online at Google Books:

         http://books.google.es/books?id=ckKTAgAAQBAJ

         2014

_____. The Video Game Theory Reader 2. New York and London: Taylor and Francis – Routledge, 2009. Reissued, Routledge eBooks, 2013. Online at Academia.*

         https://www.academia.edu/119098463/

         2024

 Por esos parajes no me adentro...




 

Lo citado es mi artículo sobre la espiral hermenéutica:

_____. "Tematización retroactiva, interacción e interpretación: La espiral hermenéutica de Schleiermacher a Goffman." iPaper at  Academia.edu 17 June 2011.*

         https://www.academia.edu/633413/

         2015


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viernes, 17 de mayo de 2024

Ocultismo y Satanismo de la Élite Globalista

Si se supiera (3)

Charlotte of Mecklenburg-Strelitz, Queen of Great Britain & Ireland

The Origins of Modern Human Cognition

  


Tattersall, Ian. "The Origins of Modern Human Cognition." Video. Lecture at the Institute of Human Origins, NY 2023. YouTube (ASU Institute of Human Origins) 8 Dec. 2023.*

https://youtu.be/lN8lp-UY-J0

         2024

 

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JOAN BAPTISTA HUMET Palau de la Musica 1985

  








El Ordenador

Retropost, 2014: La Peine Maximum (2) bisbiseo

No el delito mayor, sino la condena máxima. Una canción que cantaba Josué en el musical Les Dix Commandements: La peine maximum.

la peine maximum 2


O el mayor dolor. Bastante causa ha tenido / Vuestra justicia y rigor.


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Los días y los trabajos

 

Los días y los trabajos

The Social Brain: culture, change and evolution | Bret Weinstein

   


Weinstein, Bret. "The Social Brain: culture, change and evolution." Video. YouTube (Big Think) 5 Feb. 2018.* (Beliefs, Environment, Global crisis, Sustainability, Competition, Firms, Capitalism, Market, Google, Regulations).

https://youtu.be/G4NTbDD6PGQ

         2024

 

 

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jueves, 16 de mayo de 2024

HAZTE OIR DENUNCIA A ARMENGOL

Los duendes Lang y Lit

Según J.R.R. Tolkien:

 

 

Todos los campos de estudio e investigación, todas las grandes Escuelas, requieren sacrificio humano. Porque su objetivo principal no es la cultura, y su utilidad académica no se limita a la educación. Sus raíces se hunden en el deseo de saber, y su vida es mantenida por quienes persiguen cierto amor o curiosidad por sí mismos, sin referencia siquiera al progreso personal. Si este amor y curiosidad individuales fracasan, su tradición se hace esclerótica.

 

            Por tanto, no hay necesidad de menospreciar, ni siquiera de sentir lástima, por los meses o años de vida sacrificados a cualquier investigación mínima: por ejemplo, al estudio de cierto texto medieval insulso y su balbuciente dialecto, o de algún miserable poetastro “moderno” y su vida (espantosa, aburrida, y afortunadamente, corta)… NO, SI el sacrificio es voluntario, y SI está inspirado por una genuina curiosidad, sentida de manera espontánea o personal. 

 

            Pero concedido eso, se debe sentir un grave desasosiego cuando falta la inspiración legítima; cuando la materia o asunto de “investigación” viene impuesto, o es “sacado” del saco de curiosidades de otro para un aspirante, o es considerado por un comité como ejercicio suficiente para obtener un título académico. Sea lo que haya resultado útil en otras esferas, hay una gran diferencia entre aceptar el trabajo espontáneo de muchas personas humildes para construir una casa inglesa y levantar una pirámide con el sudor de esclavos de la graduación.

 

            Pero la cuestión no es, desde luego, tan simple. No se trata sólo de la degeneración de la auténtica curiosidad y entusiasmo en una “economía planificada”, bajo la cual gran parte del tiempo de investigación se embute de cualquier modo en pellejos más o menos normalizados, convertido en salchichas de tamaño y forma aprobados por nuestro mezquino libro de recetas propias. Aun cuando eso fuera una descripción suficiente del sistema, vacilaría antes de acusar a nadie de hacerlo premeditadamente o de aprobarlo con entusiasmo ahora que lo hemos conseguido. Ha crecido, en parte por accidente, en parte a causa de la acumulación de expedientes provisionales. Se ha invertido mucha reflexión en ello, y se ha dedicado mucho trabajo entregado y mal remunerado a administrarlo y a mitigar sus males. (…)

 

            En tal estado de cosas, la divergencia de intereses, o al menos de pericia, es inevitable. Pero no se ha hecho nada para salvar las dificultades—antes bien, se han agravado—causadas por la aparición de dos figuras legendarias, los duendes Lang y Lit. Así prefiero llamarlos, ya que las palabras lengua y literatura, aunque por lo general mal utilizadas entre nosotros, no deben ser degradadas de ese modo. La mitología popular parece creer que Lang salió de un huevo de cuco dejado en el nido, en el que ocupa demasiado lugar y roba los gusanos del pollo Lit. Algunos creen que Lit fue el cuco, empeñado en echar fuera a su compañero de nido, o en sentarse sobre él; y ellos gozan de más apoyo gracias a la historia real de nuestra Escuela. Pero tampoco ese cuento está bien fundado. (…)

 

            Lengua y Literatura aparecen como “partes” de una disciplina. Eso era bastante inofensivo, e incluso cierto, al menos mientras “partes” signifique, como debiera, aspectos y énfasis, que, puesto que tenían “igual importancia” en la disciplina como un todo, ni eran exclusivas, ni propiedad de este o aquel especialista, ni tampoco el objeto único de un curso de estudio.

 

            Pero, ¡ay!, “partes” sugería “partidos”, y muchos tomaron partido. Y de ese modo, salieron a escena Lang y Lit, los compañeros de nido enfrentados, cada uno tratando de acaparar más tiempo de los aspirantes, sin importar lo que los aspirantes pudieran pensar. (…).

 


 

            Cuando el inglés y su parentela se convirtieron en mi trabajo, me dediqué a otras lenguas, incluso al latín y al griego; y le tomé gusto a Lit tan pronto como me puse del lado de Lang. Efectivamente, me uní al bando de Lang, y descubrí que la brecha entre partidos era ya enorme; y a menos que recuerde mal, continúo ensanchándose durante algún tiempo. Cuando volví de Leeds en 1925, NOSOTROS ya no significaba estudiantes de inglés, significaba partidarios de Lang o de Lit. ELLOS significaba todos aquellos que estaban en el otro bando: gente de infinita astucia, que había que vigilar constantemente, no fuera a ser que NOS derrocaran. Y… ¡los muy canallas lo consiguieron!

 

            Porque si ustedes disponen de Partes con etiquetas, obtendrán Partidismos. Las luchas entre facciones, desde luego, son con frecuencia divertidas, en especial para los de ánimo belicoso; pero no está claro que hagan ningún bien; no son mejores en Oxford que en Verona. Tal vez las cosas les hayan parecido a algunos más aburridas en el largo período durante el que la hostilidad estuvo adormecida; y a los tales todo les podría parecer más animado si se reavivaran los rescoldos. Espero que no suceda. Habría sido mejor que nunca se hubiesen encendido. 

 

            La supresión del malentendido de los términos puede producir en ocasiones amistad. Así que, aunque el tiempo que queda es breve, consideraré ahora el mal empleo de lengua y literatura en nuestra Escuela. Creo que el error inicial se cometió cuando The School of English Language and Literature se adoptó como nuestro nombre. Los que la aman la llaman la School of English o la English School—en donde, si se me permite introducir una puntualización de Lang, la palabra English no es adjetivo, sino un nombre en composición libre—. . . . 

 

            … creo que fue un error incluir Lengua dentro de nuestro nombre para señalar esta diferencia, o para poner sobre aviso a los que ignoran su propia ignorancia. No menos porque a Lengua se le da así, como además sospecho que fue la intención, un sentido artificialmente limitado y seudotécnico que separa este asunto técnico de la Literatura. Tal separación es falsa, y este empleo del vocablo “lengua”, también.

 

            El sentido correcto y natural de Lengua incluye Literatura, del mismo modo que Literatura incluye el estudio del lenguaje de las obras literarias. Litteratura, que procedía del significado elemental “grupo de letras; alfabeto”, se empleaba como equivalente de los términos griegos grammatike y philologia: es decir, el estudio de la gramática y del idioma, así como el estudio crítico de los autores (enormemente preocupados por el lenguaje). Esas cosas que todavía debería incluir siempre. Pero aun cuando algunos deseen ahora utilizar la palabra “literatura” en un marco más restringido, para referirse al estudio de escritos que poseen una intención o una forma artísticas, con tan poca referencia como sea posible a la grammatike o a la philologia, ésta su “literatura” sigue siendo una función de la Lengua. Puede ser que la Literatura sea la operación o función más elevada de la Lengua, pero no obstante, es Lengua. (…)

 

            Yo nací en [Sudáfrica], aunque no reclamo ser el más erudito de los que han venido aquí desde el extremo más lejano del Continente Negro. Pero llevo el odio al apartheid en los huesos; y detesto por encima de todo la segregación o separación entre Lengua y Literatura. No importa a cuál de los dos consideren el Blanco.

 

(J. R. R. Tolkien, “Discurso de despedida a la Universidad de Oxford,” 5 de junio de 1959. En  Los monstruos y los críticos, Barcelona: Minotauro/Planeta DeAgostini, 2002)

 

 

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Hechiceras del Sótano Mágico

 

Hechiceras del Sótano Mágico

miércoles, 15 de mayo de 2024

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martes, 14 de mayo de 2024

Dos prólogos a 'Frankenstein'

Notas (tomadas en 2007) sobre el prólogo del editor y la introducción de la autora de Frankenstein. Edición usada:

 

Mary Shelley. Frankenstein. Ed. M. K. Joseph. Oxford: Oxford UP, 1969. (World's Classics ed., 1980).

 

 

Introduction (by M. K. Joseph).

The Prometheus myth is a basic clue to the meaning of Frankenstein. 2 myths: Prometheus pyrphoros  and Prometheus plasticator, mixed since late Antiquity. The theme was being worked on by Byron and Shelley at the time Mary Shelley wrote the novel. Theories of galvanism, Erasmus Darwin, H. Davy, Volta... and Shaftesbury's Characteristicks, on the possibility of creating a human being, use of Prometheus myth. 

 

3 concentric layer structure. (En realidad 4 capas concéntricas, pues el prefacio de Mary Shelley se ha vuelto parte de la novela (véase por ej. la versión de Gonzalo Suárez, Remando al viento), y las extrañas conexiones críticas con el libro desarrolladas tanto por la misma M. Shelley como por los comentadores, que la suelen mostrar como la que roba el fuego de la inspiración de los poetas).  

 

Parallelism between Walton and Frankenstein: Faustian hybris in both. Cautionary tale vs. the science which takes men away from normal society. Echo of The Ancient Mariner.  Parallelism Mer de Glace (Alps) / the North Pole. The Monster's narrative: a Godwinian Genesis. 

 

Improbabilities and contrivances: the cottage, Safie, the journal. Paradise Lost offers a double parallel (Adam/Satan) for the Monster. He demands his Eve; "we are drawn to complete the equation for ourselves: as the monster is to Frankenstein, so perhaps is Frankenstein to whatever power created man. The clue to the monster's predicament—benevolence corrupted—may also be the clue to Frankenstein's" (xi).

 

The Monster becomes a doppelgänger or a Mr Hyde. Only at end the story is proved not to be an hallucination. "Yet the monster is, in a literal sense, a projection of Frankenstein's mind, and an embodiment of his guilt in withdrawing from his kind and pursuing knowledge which, though not forbidden, is still dangerous." (xi). The epigraph applies to both. (Y a Mary Shelley también). Frankenstein's sin vs. Godwinian social benevolence, influenced by Perby Bysshe Shelley's Alastor, or the Spirit of Solitude.

 

Writing at the start of scientific revolution: Prometheanism is applied by Mary Shelley to science, not art —a great move. The novel creates a lasting symbol of the perils of scientific Prometheanism, it has become independent myth, giving rise to  films, etc., "It is ironic but entirely appropriate that, in the process, the nameless monster seems to have usurped the name of his creator" (xiii).

 

 

 


Frankenstein, or The Modern Prometheus (1818)

 

Epigraph from Paradise Lost. (Y sigue inmediatamente la dedicatoria a William Godwin, su padre; hay pues dos "makers"; "to mould Me man", irónico en una mujer autora, ¿clave genérica para la novela como travestismo?)

 

Introduction (de Mary Shelley, en retrospección, escrita en 1831). 

 

(Se oye una voz nueva, nueva relación del autor con la invención y la imaginación. Lo presenta como parte de su vida interior, sólo con dificultad y límites transmitible al papel. Escribe desde niña, pero le gusta fantasear:)

 

"my favourite pastime, during the hours given me for recreation, was to 'write stories.' Still I had a dearer pleasure than this, which was the formation of castles in the air—the indulging in waking dreams—the following of trains of thought, which had for their subject the formation of a succession of imaginary incidents" (5) Dreams are free and original, writings are derivative, because they are going to be read by others, "but my dreams were all my own" (5). 

 

"I did not make myself the heroine of my tales" (6) (pero sugiere un elemento de proyección que además se realiza:  "I could not figure myself that romantic woes or wonderful events would ever be my lot; but I was not confined to my own identity, and I could people the hours with creations far more interesing to me at that age, than my own sensations" (6). Nota: to people, creations. 

 

Luego se presenta a sí misma como discípula e hija intelectual de Percy Bysshe Shelley. Historia de la estancia en Suiza, historias de fantasmas alemanas que lee prefiguran temas en Frankenstein:  el retorno de lo reprimido, el creador que acaba con su raza. Byron propone escribir cada uno una ghost story, pero Mary insinúa que ni la prosa ni la narración se les dan bien: "The illustrious poets also, annoyed by the platitude of prose, speedily relinquished their uncongenial task" (8) (—detecto un tono de burla?).

 

"I busied myself to think of a story"  desea mostrar  miedos misteriosos ocultos en nuestra naturaleza y asustar al lector,  pero writer's block: "that blank capability of invention which is the greatest misery of authorship, when dull Nothing replies to our anxious invocations" (—¿invocar a lo oculto?). 

 

Mary aprende de Byron y Shelley como el monstruo aprende de Paradise Lost: "Many and long were the conversations between Lord Byron and Shelley, to which I was a devout but nearly silent listener" (8). Experimentos científicos discutidos, posibilidad de crear vida, electricidad, fabricación de partes corporales  "brought together, and endued with vital warmth" (9) —cf. el sueño de su hija muerta, acercado al fuego y calentado a la vida.   

 

La noche de la conversación, "I did not sleep, nor could I be said to think. My imagination, unbidden, possessed and guided me, gifting the successive images that arose in my mind with a vividness far beyond the usual bounds of reverie" (9). "Ve" la imagen central de la novela, el monstruo animado "on the working of some powerful engine" (9). "Frightful it must be; for supremely frightful would be the effect of any human endeavour to mock the stupendous mechanism of the Creator of the world" (9). Cf. la oposición entre la auténtica vida y creación de la poesía de Byron y Shelley, por una parte, y el "mecanismo" de la prosa por otra, que ellos no consiguen crear pero Mary sí,  efecto de una  "Uneasy, half vital motion" quizá.  

 

Es crucial en el prefacio el tema de Frankenstein durmiendo, paralelismo con M. Shelley: esperando a que se disuelva la fantasía, "that this thing, which had received such imperfect animation, would subside into dead matter" (9). Paralelismo monstruo / historia:  Frankenstein libro, creador y monstruo son todo uno. 

 

Pasa al presente histórico: el libro como proyección y conciencia autónoma, nos mira (como el monstruo) con "yellow, watery, but speculative eyes" (9). Enlace narrativo: "I opened mine in terror".  

 

Pasamos al pasado verbal; busca la autora librarse de la idea, pero sólo lo puede hacer aceptándola, creando el monstruo. "I could not so easily get rid of my hideous phantom; still it haunted me" (10).  

 

Parece chocante que hasta entonces no hubiese relacionado ese monstruo con la historia, y entonces percibe la relación. Además, anuncia orgullosamente Mary Shelley que lo que la aterroriza a ella aterrorizará a otros, y se libra de su complejo de inferioridad ante los grandes poetas:  "I announced that I had thought of a story". Shelley la anima a desarrollarlo, etc.

 

"And now, once again, I bid my hideous progeny go forth and prosper. I have an affection for it, for it was the offspring of happy days, when death and grief were but words, which found no true echo in my heart" (10). Sugiere que para ella la novela tiene asociaciones personales con aquella época, pero no para el lector. —¡Tela! Lo importante es la semiconsciencia o deliberación con la que establece el paralelismo entre la creación del monstruo y la de la novela.

 


 

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