SANTIAGO ABASCAL TIENE LA OBLIGACIÓN, COMO LIDER DEL GRUPO DE LOS PATRIOTAS EUROPEOS, DE LIDERAR UN MOVIMIENTO DE DESESCALADA DEL CONFLICTO CON RUSIA QUE AMENAZA GUERRA NUCLEAR.
¡¡¡¡TIENE QUE PROMOVER LA PAZ EN UCRANIA YA, COMO DESEA TRUMP!!!!!
¡¡¡NO SE DEJEN MANIPULAR POR EL ESTADO PROFUNDO ANGLOAMERICANO QUE CONTROLA LA OTAN!!!!!
TIENEN UNA ENORME RESPONSABILIDAD EN ESTE MOMENTO CRÍTICO QUE ESTÁN IGNORANDO.
¡¡¡DEBEN DIRIGIRSE A LA CIUDADANÍA TAMBIÉN DENUNCIANDO ESTA SITUACIÓN O SERÁN CÓMPLICES!!!!!
Las organizaciones abortistas, de Gates, Soros, etc., son anglófonas además de anglófilas, y queda la huella de ello los lemas que les insertan a estas petardas criminales.
FULL SHOW 11/19/24 — WW3 Alert! Russia Threatens Imminent Nuclear War After NATO Launches Bombing Campaign Inside Russia, Congressman Massie & Other Leaders Call For The Immediate Removal Of Biden Under The 25th Amendment!
Jones,
Alex. "Nuclear War Alert! Russian Diplomats Warn The World Has Never Been
Closer To WW3 After Biden Authorizes NATO Bombing Inside Russia!" X (Alex Jones) 18 Nov. 2024.*
_____. "EMERGENCY
WWIII ANNOUNCEMENT: General Flynn Warns Biden's Bombing Of Russia Has Lit The
Fuse That Will Trigger WWIII— The Former Head Of The Defense Intelligence
Agency Calls For Biden's Immediate Removal Under The 25th Amendment." X
(Alex Jones) 19 Nov. 2024.*
_____. "WW3
Alert! Russia Threatens Imminent Nuclear War After NATO Launches Bombing
Campaign Inside Russia, Congressman Massie & Other Leaders Call For The
Immediate Removal Of Biden Under The 25th Amendment!" X (Alex Jones) 19 Nov. 2024.*
Putin lanza una advertencia al golpe de Estado de Biden, que solo tres dias después de prometer en persona a Trump, facilitar una transición pacífica y tranquila , mintió como el bellaco que siempre ha sido, dando luz verde al empleo de missiles ATACMS, manejados y guiados por… pic.twitter.com/FOieBu3Ijc
Trump Issues Emergency WWIII Warning: 47 Calls For An Immediate Cease Fire To Be Declared By Ukraine & Russia To Stop The War Escalating To Nuclear Armageddon
No paran de borrarme entradas en esta franquicia de Google, cosa que jamás pasó antes de la demencia colectiva de 2020 (que aquí en Blogger y Google aún les dura, junto con un caso agudo de TDS supongo).
Aquí su última cartita:
Como probablemente ya sabrás, nuestras Normas de la Comunidad
(https://blogger.com/go/contentpolicy) describen los límites de los
contenidos permitidos y no permitidos en Blogger. Nos han pedido que revisemos tu entrada "SE ACABÓ LA PLANDEMIA VACUNAZI". Hemos determinado que infringe nuestras normas y hemos eliminado la entrada, anteriormente
disponible en http://vanityfea.blogspot.com/2024/11/se-acabo-la-plandemia-vacunazi.html.
¿Por qué hemos eliminado tu entrada de blog?
Tu contenido vulnera nuestra política de contenido engañoso. Para
obtener más información, visita la página de normas de la comunidad, cuyo
enlace encontrarás en este correo.
Si crees que hemos cometido un error, puedes solicitar una apelación: https://www.blogger.com/go/appeal-post?blogId=25601183&postId=3134075740434799488.
Tienes la opción de presentar tus reclamaciones ante juzgados o tribunales.
Si tienes alguna duda de carácter legal o quieres consultar las opciones legales a las que puedes recurrir, te recomendamos que busques asesoramiento jurídico.
Te recomendamos revisar el contenido completo de tus entradas para
asegurarte de que cumplen nuestros estándares y no existe ninguna otra
infracción que pueda dar lugar a que se elimine tu blog.
Para obtener más información, consulta los siguientes recursos:
Términos del Servicio: https://www.blogger.com/go/terms
Normas de la Comunidad de Blogger: https://blogger.com/go/contentpolicy
Un saludo,
GOBIERNO CRIMINAL - #Sánchhez Dimisión #CaceroladaALas8 #MasacreDeValencia
Que "dana" ni qué leches. AQUÍ HAY QUE EMPEZAR A LLAMAR POR SU NOMBRE A LA MASACRE DE VALENCIA.
1º Imprevisión, 2º Masacre ( M A S A C R E) y luego ABANDONO en Valencia.
SÁNCHEZ DIMISIÓN. #CaceroladaALas8
En un país serio y democrático está hija de puta tendría que estar esposada y sentada delante de un Juez, después de lanzar 7.000 millones de litros de agua, sobre los valencianos, provocando cientos de víctimas mortales. pic.twitter.com/ezY5YkMQVN
Baños, Pedro, et al. "Lo que nos Ocultan." Video
interview with Pilar Esquinas et al. YouTube (El Canal del Coronel) 18
Nov. 2024.* (Water and irrigation, Dams, Valencia floods, globalism, environmentalism,
Teresa Ribera, Sara Aagesen Muñoz, Hugo Alfonso Morán Fernández, Miguel Polo
Cebellán, Manuel Torán, corruption, Agendas, PP, PSOE, conspiracies, Agenda
2030, planning).
Mais le désir de ne pas perdre à jamais certaines femmes, bien plus que certaines places, entretenait chez moi à Venise une agitation qui devint fébrile le jour où ma mère avait décidé que nous partirions, quand à la fin de la journée, quand nos malles étaient déjà parties en gondole pour la gare, je lus dans un registre des étrangers attendus à l'hôtel: "Baronne Putbus et suite". Aussitôt, le sentiment de toutes les heures de plaisir charnel que notre départ allait me faire manquer, éleva ce désir, qui existait chez moi à l'état chronique, à la hauteur d'un sentiment, et le noya dans la mélancolie et le vague; je demandai à ma mère de remettre notre départ de quelques jours; et l'air qu'elle eut de ne pas prendre un instant en considération ni même au sérieux ma prière réveilla dans mes nerfs excités par le printemps vénitien ce vieux désir de résistance à un complot imaginaire tramé contre moi par mes parentes (qui se figuraient que je serais bien forcé d'obéir) cette volonté de lutte, désir qui me poussait jadis à imposer brusquement ma volonté à ceux que j'aimais le plus, quitte à me conformer à la leur après que j'avais réussi à les faire céder. Je dis à ma mère que je ne partirais pas, mais elle, croyant plus habile de ne pas avoir l'air de penser que je disais cela sérieusement ne me répondit même pas. Je repris qu'ell verrait bien si c'était sérieux ou non. Le portier vint apporter trois lettres, deux pour elle, une pour moi que je mis dans mon portefeuille au milieu de toutes les autres sans même regarder l'enveloppe. Et quand fut venue l'heure ou, suivie de toutes mes affaires, elle partit pour la gare, je me fis porter une consommation sur la terrasse, devant le canal, et m'y installai, regardant se coucher le soleil tandis que sur une barque arrêtée en face de l'hôtel un musicien chantait Sole mio. Le soleil continuait de descendre. Ma mère ne devait pas être loin de la gare. Bientôt elle serait partie, je resterais seul à Venise, seul avec la tristesse de la savoir peinée par moi, et sans sa présence pour me consoler. L'heure du train approchait. Ma solitude irrévocable était si prochaine qu'elle me semblait déjà commencée et totale. Car je me sentais seul. Les choses m'étaient devenues étrangères, je n'avais plus assez de calme pour sortir de mon cœur palpitant et introduire en elles quelque stabilité. La ville que j'avais devant moi avait cessé d'être Venise. Sa personnalité, son nom, me semblaient comme des fictions menteuses que je n'avais plus le courage d'inculquer aux pierres. Les palais m'apparaissaient réduits à leurs simples parties et quantités de marbre pareil à tout autre, et l'eau comme une combinaison d'hydrogène et d'azote, éternelle, aveugle, antérieure et extérieure à Venise, ignorante des doges et de Turner. Et cependant ce lieu quelconque était étrange comme un lieu où on vient d'arriver, qui ne vous connaît pas encore, comme un lieu d'où l'on est parti et qui vous a déjà oublié. Je ne pouvais plus rien lui dire de moi, je ne pouvais rien de moi se poser sur lui, il me laissait contracté, je n'étais plus qu'un cœur qui battait et qu'une attention suivant anxieusement le développement de Sole mio. J'avais beau raccrocher désespérément ma pensée à la belle coudée caractéristique du Rialto, il m'apparaissait avec la médiocrité de l'évidence comme un pont non seulement inférieur, mais aussi étranger à l'idée que j'avais de lui qu'un acteur dont, malgré sa perruque blonde et son vêtement noir, j'aurais su qu'en son essence il n'est pas Hamlet. Tels les palais, le Canal, le Rialto, se trouvaient dévêtus de l'idée qui faisait leur individualité et dissous en leurs vulgaires éléments matériels. Mais en même temps ce lieu médiocre me semblait lointain. Dans le bassin de l'arsenal, à cause d'un élément scientifique luis aussi, la latitude, il y avait cette singularité des choses qui, même semblables en apparence à celles de notre pays, se révèlent étrangères, en exil sous d'autres cieux; je sentais que cet horizon si voisin, que j'aurais pu atteindre en une heure, c'était une courbure de la terre tout autre que celle des mers de France, une courbure lointaine qui se trouvait, par l'artifice du voyage, amarrée près de moi; si bien que ce bassin de l'Arsenal à la fois insignifiant et lointain me remplissait de ce mélange de dégoût et d'effroi que j'avais éprouvé tout enfant la première fois que j'accompagnai ma mère aux bains Deligny; en effet dans le site fantastique composé par une eau sombre que ne couvraient pas le ciel ni le soleil et que cependant borné par des cabines on sentait communiquer avec d'invisibles profondeurs couvertes de corps humains en caleçon, je m'étais demandé si ces profondeurs cachées aux mortels par des baraquements qui ne les laissaient pas soupçonner de la rue, n´étaient pas l'entrée des mers glaciales qui commençaient là, si les pôles n'y étaient pas compris, et ci cet étroit espace n'était pas précisément la mer libre du pôle; cette Venise sans sympathie pour moi où j'allais rester seul, ne me semblait pas moins isolée, moins irréelle et c'était ma détresse que le chant de Sole mio s'élevant comme une déploration de la Venise que j'avais connue, semblait prendre à témoin. Sans soute il aurait fallu cesser de l'écouter si j'avais voulu pouvoir rejoindre encore ma mère et prendre le train avec elle, il aurait fallu décider sans perdre une seconde que je partais, mais c'est justement ce que je ne pouvais pas; je restais immobile, sans être capable non seulement de me lever mais même de décider que je me lèverais. Ma pensée sans doute pour ne pas envisager une résolution à prendre, s'occupait tout entière à suivre le déroulement des phrases successives de Sole mio, à chanter mentalement avec le chanteur, à prévoir l'élan qui allait l'emporter, à m'y laisser aller avec elle aussi; a retomber ensuite. Sans doute ce chant insignifiant entendu cent fois, ne m'intéressait nulleement. Je ne pouvais faire plaisir à personne ni à moi-même en l'écoutant aussi religieusement jusqu'au bout. Enfin, aucun des motifs connus d'avance par moi, de cette vulgaire romance ne pouvait me fournir la résolution dont j'avais besoin; bien plus, chacune de ces phrases, quand elle passait à son tour, devenait un obstacle à prendre efficacement cette résolution ou plutôt elle m'obligeait à la résolution contraire de ne ps partir, car elle me faisait passer l'heure. Par là cette occupation sans plaisir en elle-même d'écouter Sole mio se chargeait d'une tristesse profonde, presque désespérée. Je sentais bien qu'en réalité, c'était la résolution de ne pas partir que je prenais par le fait de rester là sans bouger; mais me dire: "Je ne pars pas", qui ne m'était pas possible sous cette forme directe, me le devenait sous cette autre: "Je vais entendre encore une phrase de Sole mio"; mais la signification pratique de ce langage figuré ne m'échappait pas et, tout en me disant: "Je ne fais en somme qu'écoputer une phrase de pus", je savais que cela voulait dire: "Je resterai seul à Venise." Et c'est peut-être cette tristesse comme une sorte de froid engourdissant qui faisait le charme désespéré mais fascinateur de ce chant, chaque note que lançait la voix du chanteur avec une force et une ostentation presque musculaires venait me frapper en plein cœur; quand la phrase était consommée en bas et que le morceau semblait fini, le chanteur n'en avait pas assez et reprenait en haut comme s'il avait besoin de proclamer une fois de plus ma solitude et mon désespoir. Ma mère devait être arrivée à la gare. Bientôt elle serait partie. J'étais étreint par l'angoisse que me causait, avec la vue du canal devenu tout petit depuis que l'âme de Venise s'en était échappée, de ce Rialto banal qui n'était plus le Rialto, —par ce chant de désespoir que devenait Sole mio et qui, ainsi clamé devant les palais inconsistants, achevait de les mette en miettes et consommait la ruine de Venise; j'assistais à la lente réalisation de mon malheur construit artistement, sans hâte, note par note, par le chanteur que regardait avec étonnement le soleil arrêté derrière Saint-Georges-le-Majeur, si bien que cette lumière crépusculaire devait faire à jamais dans ma mémoire avec le frisson de mon émotion et la voix de bronze du chanteur, un alliage équivoque, immutable et poignant.
Putin ha aguantado, hasta ahora, todas las provocaciones de USA-OTAN en el conflicto que le venían provocando desde 2014. Ha tenido mucha templanza y sangre fría. Pero esto cambia la situación y lo abre a un escenario de guerra mundial pic.twitter.com/3WW0n2DK2H
WWIII Alert: Biden Officially Greenlights The Bombing of Russia With Long Range Missiles By NATO -- This Is A Transparent Attempt To Escalate The Ukraine War Before Trump Takes Office
Alex Jones & Special Guests Are Reporting Live NOW--Must-Watch/Share! https://t.co/DIXm9fYRix
Hale, ya he hecho mi cacerolada a las 8 contra SÁNCHHEZ. No se me ha
sumado nadie, como de costumbre. Una nación aborregada y noqueada, lista
para que hagan albóndigas con ella.
🔴 #ÚLTIMAHORA | Monumental cacerolada en la zona cero de Valencia contra Pedro Sánchez y Mazón por su gestión de la DANA. pic.twitter.com/H7qjj31mAo
Aquí la portada española de mi Bibliografía de Teoría Literaria, Crítica y Filología,29ª edición (2024), esta vez con cuadro de búsqueda e índice de términos.
En esta versión, da un aviso de peligro antes de descargar el listado bibliográfico, pero se puede ignorar pues se refiere sólo a una diferencia de protocolo https / http, y el documento se descarga sin problemas.